Après une petite pause nocturne pas très glamour mais pratique sur la route entre Bled et Munich, dans les bois du côté d'Anger, nous retrouvons exactement la même place dans la même rue qu'en automne, Hochstrasse! A 600 m du Deutsche Museum. Tranquille, gratuit et toujours libre.

Cela permet de descendre vers l'Isar puis de s'enfoncer dans la vieille ville en passant par Viktualienmarkt et ses boutiques alléchantes bien que pas données. Clairement Munich est sur un tout autre niveau de vie.

Nous avons pu profiter de la chorégraphie des automates de l'hôtel de ville et des milliers de téléphones portables braqués simultanément vers ces ancêtres des robots modernes.

Nous avions bon espoir en début de balade mais nous ne verrons définitivement pas la capitale bavaroise sous le soleil.

C'est dommage mais un détail va rapidement nous faire oublier les caprices de la météo.... Un type en vélo avec sa planche de surf accrochée sur le côté. S'agit-il d'un doux illuminé, d'une soirée étudiante qui se prépare?

Eh bien non! Il y a effectivement un spot très couru (bon ok pas mondialement!) de surf en plein centre de Munich. Une vague créée artificiellement en profitant des remous aux pieds d'un pont sur l'Eisbach, l'Eisbachwelle. Tout bonnement ahurissant!

Après un bon dessert chez Maelu, nous repartons cette fois-ci pour rentrer, un peu nostalgiques mais des trésors plein les rêves.

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